J'ai fait une fausse manip .
Je ne comptais point envoyer de texte à cet instant et je ne sais pas comment faire pour l'effacer.
Mon intention première était de répondre à un courrier.
Ce texte de Giono que j'aime beaucoup m'a été rappelé par mon ami Greg.
Je vous l'offre pour me faire pardonner .
" Ce dont on te prive, c'est de vents, de pluies, de neiges, de soleils, de montagnes, de fleuves, et de forêt : les vraies richesses de l'homme !
Tout a été fait pour toi ; au fond de tes plus obscures veines, tu as été fait pour tout.
Quand la mort arrivera, ne t'inquiète pas, c'est la continuation logique.
Tâche seulement d'être alors le plus riche possible.
A ce moment là, ce que tu es, deviens."
J. Giono
Merci de ne pas avoir effacer ce commentaire que j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerGiono, un auteur que j'affectionne tout particulièrement.
Bon dimanche à vous, très joli texte.
vive les fausses manip...ce sont des mots qui voulaient venir jusque là certainement...ils ont encore pus de sens du coup...:-)
RépondreSupprimerle hasard n'existe pas
RépondreSupprimerle texte estmagique et les mots sont très vrais
Bon dimanche
joli texte plein de sagesse.bon début de semaine,je repasserai souvent,je suis un membre du blog n'est ce pas?
RépondreSupprimermerci de nous l'avoir offert !
RépondreSupprimeret bien ce texte se devait d'être présent ici , je le lis et relis avec grand bonheur
RépondreSupprimerje suis si heureuse que tu sois revenue, fallait t'en redonner l'envie...le temsp je sais te manque mais quoiqu'il arrive je serai là encore et encore
je t'embrasse avec tendresse, je ne suis pas en forme hélas mais le moral tient bon !
Avec Giono, tu ne cours pas de risque, il est toujours si dense et intense ; on n'est pas en salle de réa ! Bel extrait !
RépondreSupprimerCe sont les dernières phrases de " Les vraies richesses "...(l'époque contadourienne), livre dans lequel il oppose le vie à la ville ( qui peut engendrer beaucoup de frustrations selon lui) et celle des campagnes.
RépondreSupprimerJe suis Manosquin d'adoption...j'ai donc été bercé dans l'univers de Giono, imprégné des même odeurs et j'ai marché sur les même sentiers.
Paradoxalement, j'ai commencé à le découvrir et surtout à lire ses écrits assez tard...il a fallu que je parte ou que je grandisse pour apprendre....pour comprendre...pour aimer
Je bois maintenant ses mots avec lesquels mon corps rentre en résonance : " Que ma joie demeure " est mon livre de chevet.
Je suis maintenant amoureux, passionné...J'ai eu la chance de rencontrer sa fille l'été dernier, son cousin aussi, Serge Fiorio. Que de beauté dans leurs regards.
Bon il ne faut pas que je m'emballe, ça pourrait durer des heures.
Tout ça pour te dire que si tu passes dans ce beau pays, il faut que tu t'y arrêtes.
" Il y a sur la terre des beaux moments bien tranquilles "
J'ai tout lu de Giono. J'habite à 75km de Manosque qui est la ville où il a habité toute sa vie. Mais tu vois, moi j'aurais dit autrement : "Ce que tu es, sois". Parce qu'il ne faut rien attendre de la mort ; sinon, tu te leurres. C'est aujourd'hui qu'il faut demander d'avoir TOUT comme Giono le dit d'ailleurs lui-même.
RépondreSupprimerL'Amérique est toujours présentée comme New York, routes d'édifices hauts et voitures. Mais il y a l'autre Amérique, subsistance voyant que mon blog et vous découvrirez.
RépondreSupprimerAvec un si beau texte tu es tout pardonnée.
RépondreSupprimerLilia
RépondreSupprimerEn fait, c'est très beau texte!
Plus parle d'une chanson de All Time Low!
Je mets la lettre sur ce blog et une autre chanson en anglais!
Elle aime la musique et le cinéma français!
belle semaine!
baisers
Elaine