vendredi 14 septembre 2012


Le ciel lave le ciel
 Le soleil caresse mal les absents
Orage  coup de vent
Vie mimée ou exaltée
Chien perdu sans collier
Faux bond  colmatage
Association de malfrats en gage
Rythme sulfureux
Bipolarité  amour caséeux
Compte à rebours air du temps
Les rides effacent  les rides
Le détail s’estompe
Place au délire et la magie du moment

2 commentaires:

  1. Ma petite Lilia
    il me faudra relire ce texte plusieus fois pour y trouver, peut-être, le sens que tu veux y mettre, mais là n'est pas l'important , l'important est juste ce signe de toi, et il me fait du bien

    je ne t'oublie jamais, je t'embrasse fort

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  2. Quelle femme entière tu es, chère Lilia !!!

    Ce soir, en entrant chez toi,
    je me suis accrochée
    dans tes longs et touchants lacets...

    Je sens dans ta poésie
    un goût de douce folie
    et j'en suis ravie.

    Pensées amicales et bisous tout doux.
    Sue

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